• Hôtel le Crillon

     

    Histoire  (source Wikipédia)

     En 1758, le roi de France, Louis XV commande à son architecte Jacques-Ange Gabriel, la réalisation sur la « place Louis XV » de deux façades identiques de part et d'autre de la rue Royale : la façade orientale qui fut occupée par l'Hôtel de la marine, tandis que le premier Hôtel de la Monnaie devait prendre possession de la façade occidentale. Mais cet emplacement fut en définitive jugé trop éloigné du quartier des affaires, et un arrêt du Conseil décida que le nouvel édifice s'éleverait à son emplacement actuel sur le Quai de Conti. Le terrain situé derrière la colonnade occidentale fut alors divisé en quatre lots qui furent cédés à des particuliers, à charge pour eux d'élever des hôtels particuliers derrière la façade de Gabriel :

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  •  Hôtel de Beauharnais

     

     78, rue de Lille – Paris 7ème  -  Métro Assemblée Nationale

     Une sobre façade du début du XVIIIème siècle, et un portique égyptisant : ce curieux mélange a été voulu par Eugène de Beauharnais, fils de Joséphine et beau-fils de Napoléon 1er, devenu propriétaire de l’hôtel en 1803.

    Le jeune homme cédait ainsi à la mode lancée depuis le retour  de l’expédition d’Egypte (1798-1801).

    Achetée par la Prusse en 1818, le bâtiment devint ensuite propriété de l’Allemagne.

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  • Hôtel Amelot de Bisseuil  (dit des Ambassadeurs de Hollande)

     

    D’où vient ce curieux second nom ? Peut-être d’un ambassadeur de Hollande qui y aurait séjourné.

    Avec son imposant portail et ses bâtiments répartis autour de deux cours, l’hôtel que fit ériger au XVII ème siècle, Amelot de Bisseuil fut l’un des plus beaux du Marais. 

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  • Hôtel d’Albret

     9, bis et 31, rue des Francs-Bourgeois (IVè)     Métro : St Paul ou Rambuteau . RER Châtelet

     

     Rien dans cet hôtel luxueux, dont la construction fut commandée au XVI ème siècle, par le connétable de Montmorency, ne rappelle les maisons d’aumône qui l’ont précédé au

    Moyen-âge et qui étaient ouvertes aux indigents.

    Ceux-ci, exemptés de taxes et dès lors baptisés « francs-bourgeois » ont d’ailleurs laissé leur nom à la rue.

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  • Hôtel des Abbés de Fécamp

     
    Au XVIIe siècle, l'immeuble est habité par le capitaine Godin de Sainte-Croix, amant de la marquise de

     

    Brinvilliers, rendue célèbre par l'affaire des poisons, qui s'y rendait souvent.

     

    Nicolas Boucot, un important bibliophile, y réside au premier étage jusqu'à sa mort en 1699.

     

    Tout au long de sa vie, il acquiert des livres, et à sa mort, il possède plus de 18 000 volumes et plus de

     

    7 000 estampes.

     

    À la mort de Stanislas Leszczyński, duc de Lorraine, en 1766, les archives de Lorraine sont ramenée à

     

    Paris et entreposées dans le bâtiment, jusqu'en 1790, date à laquelle elles sont transférées aux Archives

     

    nationales.

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